A la rentrée de septembre 2008, une classe de Segpa ouvrait au collège F.-Cazes de St-Béat. L’Éducation nationale consentait enfin à mettre en place une structure d'enseignement adapté de proximité dédiée aux jeunes collégiens en grande difficulté scolaire dans cette pointe sud de la Hte-Garonne. 7 ans plus tard, le Dasen envisage de la fermer, officiellement pour permettre la mise en place d'un obscur "dispositif expérimental innovant".
lundi 18 avril 2016
dimanche 17 avril 2016
Le Conseil Départemental s'oppose à la fermeture de la Segpa
Dans sa session d'avril, le Conseil Départemental s'est prononcé à l'unanimité sur la proposition de Patrice RIVAL, conseiller départemental du canton de Luchon, s'opposant au projet de fermeture de la Segpa de Saint-Béat. Ce vœu a été transmis à la rectrice.
"... ... Parce que les élèves ont encore besoin d'un enseignement adapté, je m'oppose fortement, ainsi que mes collègues Roselyne ARTIGUES et Marie-Claude LECLERC, Vice- Présidente en charge de l’Éducation et de l’Enseignement, à ce projet de suppression de la classe SEGPA située en zone de montagne, zone où la proximité de nos services publics doit être maintenue."
"... ... Parce que les élèves ont encore besoin d'un enseignement adapté, je m'oppose fortement, ainsi que mes collègues Roselyne ARTIGUES et Marie-Claude LECLERC, Vice- Présidente en charge de l’Éducation et de l’Enseignement, à ce projet de suppression de la classe SEGPA située en zone de montagne, zone où la proximité de nos services publics doit être maintenue."
lundi 11 avril 2016
Le Dasen est sourd. Nous nous tournons vers sa hiérarchie.
Aucune réponse du Dasen, qui continue son petit bonhomme de chemin. On n'interrompt pas le faucheur en plein travail. Non mais !
Nous décidons donc de passer à l'échelon supérieur, la rectrice et, quitte à y être, la ministre. Au diable la pudeur du pot de terre !
C'est donc le même courrier que nous envoyons à ces deux autorités aujourd'hui-même, lundi 11 avril. Aurons-nous droit à une réponse, une attention bienveillante ?
Elles, ne nous liront peut-être pas, mais vous, nous vous invitons à en prendre le temps. Notre argumentaire est imparable. C'est probablement pour cela qu'on n'aura pas de réponse.
Nous décidons donc de passer à l'échelon supérieur, la rectrice et, quitte à y être, la ministre. Au diable la pudeur du pot de terre !
C'est donc le même courrier que nous envoyons à ces deux autorités aujourd'hui-même, lundi 11 avril. Aurons-nous droit à une réponse, une attention bienveillante ?
Elles, ne nous liront peut-être pas, mais vous, nous vous invitons à en prendre le temps. Notre argumentaire est imparable. C'est probablement pour cela qu'on n'aura pas de réponse.
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